mardi 31 mars 2015

Bilan mensuel [10]

BILAN n°10 :


C'est l'heure du bilan !
Dans les prochains bilans ainsi que dans celui-ci, vous aurez mes livres lus, les chroniques publiées et mes acquisitions.

Livres lus en mars : (du plus récent au plus ancien)


La Ferme des Animaux de George Orwell - 150 pages (Chronique à venir)




Fangirl de Rainbow Rowell - 459 pages (Chronique)

 
Insurgent de Veronica Roth - 525 pages, relecture (Chronique d'avril 2014) 





Le Livre de Saskia, tome 1, de Marie Pavlenko - 380 pages (Chronique)


Total de 1514 pages pour 4 livres lus. On augmente de peu le nombre de pages par rapport au mois de février, avec pourtant, moins de livres lus. Mon challenge Goodreads est en bonne voie : 14 livres lus sur 60 prévus pour 2015. C'est très motivant !


Mes acquisitions :


Trois acquisitions personnelles:
- Les Misérables de Victor Hugo, en 3 tomes. 

J'ai aussi reçu 2 SP de la part de Gallimard Jeunesse. Cependant, ils sont chez mes parents, mon ancienne adresse, et je ne les ai pas encore sous la main (ni leur titre d'ailleurs...)
  


Lecture(s) à venir :

En cette fin mars, j'ai commencé The Graveyard Book de Neil Gaiman qui sera terminé début avril. Ensuite, je compte lire Le Chevalier au bouclier vert d'Odile Weurlesse et 1984 de George Orwell. Je lirai sûrement un autre roman mais je n'ai pas encore décidé lequel!

Et vous, votre bilan de mars ?
 

samedi 28 mars 2015

Rainbow Rowell : Fangirl



Fangirl

Cath est fan de Simon Snow.
Okay, le monde entier est fan de Simon Snow...
Mais pour Cath, être une fan résume sa vie - et elle est plutôt douée pour ça. Wren, sa soeur jumelle, et elle se complaisaient dans la découverte de la saga Simon Snow quand elles étaient jeunes. Quelque part, c'est ce qui les a aidé à surmonter la fuite de leur mère.
Lire. Relire. Traîner sur les forums sur Simon Snow, écrire des fanfictions dans l'univers de Simon Snow, se déguiser en personnages pour les avant-premières de films.
La soeur de Cath s'est peu à peu éloignée du fandom, mais Cath ne peut pas s'en passer. Elle n'en éprouve pas l'envie.
Maintenant qu'elles sont à l'université, Wren a annoncé à Cath qu'elle ne voulait pas qu'elles partagent une chambre. Cath est seule, complètement en dehors de sa bulle de confort. Elle partage son quotidien entre une colocataire hargneuse qui sort malgré tout avec un mec charmant et toujours collé à ses bottes, son professeur d'écriture inventée qui pense que les fanfictions annoncent la fin du monde civilisé, et un camarade de classe au physique alléchant qui a la passion des mots...
Mais elle ne peut s'empêcher de s'inquiéter à propos de son père, aimant et fragile, qui n'a jamais vraiment été seul.
Pour Cath, la question est : va-t-elle réussir à s'habituer à cette nouvelle vie ?
Peut-elle le faire sans que Wren lui tienne la main ? Est-elle prête à vivre sa propre vie ? Ecrire ses propres histoires ?
Et veut-elle vraiment grandir si c'est synonyme d'abandonner Simon Snow ?

MON AVIS :

Ce roman ne pouvait qu’attirer mon regard. En effet, le titre me parle beaucoup : « Fangirl » est un nom qui pourrait très bien me décrire. Mais avant que vous ne leviez les yeux au ciel, sachez qu’une fangirl n’est pas une groupie, du moins de mon point de vue. Une fangirl c’est une fille qui évolue autour de son fandom (kingdom, fandom, vous saisissez ?), dans son fandom et dans d’autres aussi. Ce roman de Rainbow Rowell raconte l’histoire de Cath Avery et cette jeune fille aurait pu être une de mes amies.

La définition d'une fangirl en image.

Cath est une jeune fille très introvertie, qui a peur de se mêler aux gens et qui s’évade dans la saga Simon Snow, un magicien (je n'ai pas pu m'empêcher de comparer cette saga à Harry Potter, sur certains points!). Elle écrit une fanfiction sur cette saga et elle a un succès fou. Cath se réfugie dans cette immense sphère qu’est internet et en oublie de vivre jusqu’à ce qu’elle rencontre Reagan et Levi. 

Cette histoire est touchante et agaçante à la fois. Le personnage de Cath m’a plu et agacé en même temps. Je comprenais certaines de ses réactions et d’autres me semblaient trop extrêmes. Pourtant, j’aurais très bien pu, comme elle, ne pas mettre les pieds au restaurant universitaire pendant un mois tout simplement parce que je n’aurais pas osé demander où il se trouvait. Par contre, elle baisse trop facilement les bras. Ensuite, j’ai trouvé que son histoire familiale était émouvante mais elle écrasait trop l’histoire en elle-même. Entre les problèmes de son père, les problèmes de sa mère et les problèmes avec sa sœur jumelle, on se retrouve un peu noyé d’autant plus qu’aucun de ces sujets n’est vraiment traité en profondeur. Enfin, son histoire avec Levi est très agréable à suivre. De plus, j’ai trouvé que, pour une fois, on sortait du schéma classique dans la littérature adolescente : exit le beau jeune homme mystérieux qui tombe sous le charme de la fille timide. Ici, Levi semble être un garçon comme les autres, avec ses qualités et ses défauts mais ce n’est pas le garçon sur lequel toutes les filles de l’université se retournent. Il est très attachant et il m’a fait sourire à de nombreuses reprises.

Ce qui m’a réellement agacé, c’est la fin du roman. Je la trouve abrupte et ça m’a frustré. Cette fin n’est pas surprenante quand on y réfléchit mais, en tant que lectrice, j’en demande encore. Alors que cette histoire n’est pas inoubliable, j’ai eu comme une petite étincelle présente tout au long de ma lecture dans mon cerveau de lectrice. Sans aucun doute, cela est dû à la plume de Rainbow Rowell. Cette plume est légère et pleine de fraîcheur. Pour se détendre, c’est idéal. De plus, l’auteur ne se contente pas de donner vie aux personnages de son roman. En effet, elle profite de son histoire pour écrire aussi une autre histoire : celle de Simon Snow et de Baz, dont Cath est fan. Cette mise en abyme est originale car Rainbow Rowell nous livre au sein de son roman des extraits du roman de Gemma Leslie sur Simon Snow et des extraits de la fanfiction de Cath. En d’autres termes, c’est un peu bookception (le nouvel inception, si vous voulez) !
 
En résumé : l’histoire d’une fangirl qui apprend à vivre, à grandir et à s’épanouir dans le monde réel et dans un monde littéraire hors norme. On ressort de cette lecture avec le sourire et un sentiment de légèreté.

 
"Je me sens plutôt bien" = à la fin de la lecture

vendredi 13 mars 2015

Marie Pavlenko : Le Livre de Saskia - Tome 1



Le Livre de Saskia

Saskia fête ses dix-huit ans et s'apprête à entrer en terminale, comme beaucoup de filles de son âge. Dans sa maison en bordure de forêt, elle mène une vie des plus ordinaires. Ordinaire, vraiment ?
Si c'était le cas, pourquoi son quotidien vire-t-il au cauchemar, enchaînant phénomènes incongrus et rencontres étranges ?
Quel secret recèle la pierre qu'elle porte au poignet depuis qu'elle a été trouvée aux portes d'un orphelinat, bébé ?
Que lui veut Tod, mystérieux garçon qui la suit comme son ombre et ne se sépare jamais de son coutelas ? Et Mara, jeune fille froide et distante, qui parle une langue incongrue ?
Peu à peu, Saskia plonge au coeur d'un monde aussi fascinant que terrifiant, peuplé de créatures ailées, de magie, de combats mortels et de prophéties troublantes.
La voici embarquée dans une guerre séculaire dont elle était loin de soupçonner l'existence...

MON AVIS :

Tout d’abord, un grand merci à Kevin pour ce livre ! Il me l’a offert pour mon anniversaire et il ne pouvait pas viser plus juste. J’ai adoré cette lecture, j’hésite même à en faire un coup de cœur… On verra à la fin de la chronique si je me suis décidée !

Cette histoire me faisait envie depuis quelques temps : elle faisait un séjour prolongé dans ma wish-list. Quand je l’ai reçu, ce fut une très belle surprise ! Très rapidement, je me suis jetée dessus. Quand je l’ai commencé, un matin, assise tranquillement dans un fauteuil, près de la fenêtre, avec le soleil, je pensais lire les 50 premières pages. Au final, j’en ai lu 150 d’une traite. Si je m’étais écoutée, j’aurais lu les 220 restantes dans la foulée mais je me suis forcée à faire durer la lecture. 

Je lisais aussi vite que Salem, le chat de Sabrina.

En toute honnêteté, l’histoire n’a rien de très exceptionnelle ou de très originale. Une jeune fille se découvre des pouvoirs très particuliers, elle ne sait pas vraiment d’où elle vient, elle a une pierre hors du commun… En soi, rien d’extraordinaire. Néanmoins, j’ai accroché. En effet, même si la recette de base n’a rien de nouveau, la façon de cuisiner est toujours différente d’un auteur à l’autre et ils ajoutent toujours quelques ingrédients secrets qui font que ça coince ou non.

Le point fort de ce roman est le rythme. Certes, les cent premières pages dévoilent l’intrigue tout doucement mais ce n’est pas lent ! Du moins, je ne me suis pas ennuyée une seconde. C’est une partie que j’aime beaucoup dans les livres car ça permet de se familiariser avec un univers, avec des personnages… Dans le cas du Livre de Saskia, la familiarisation se fait en douceur, nous ne sommes pas noyés sous un flot d’informations et Marie Pavlenko en donne suffisamment pour maintenir la curiosité du lecteur éveillée. 

Les personnages sont tous très attachants. Leurs personnalités ne sont pas différentes de celles des autres romans du même genre mais ils n’en restent pas moins intéressants ! Tod et Mara sont les personnages que j’ai le plus apprécié. Je les trouve sympathiques !  Saskia, manque de chance pour elle, m’a agacé par moment. Encore une fois, je blâme la narration à la première personne. Même si ses réactions sont souvent modérées, justes et normales, elle a une trop forte tendance à s’énerver, surtout au début. Sa fureur monte d’un coup et je trouvais que c’était souvent déplacé. A la place de Tod ou Mara, j’aurais assez vite perdu patience face à elle. Surtout que sa colère retombe comme un soufflé, donc autant qu’elle reste zen, ça évitera du tourment à tout le monde !

L’univers créé, celui des Enkidars avec les Faucheurs et les Gardiens, m’intrigue beaucoup. J’ai hâte d’en savoir plus. Je répond toujours présente quand il s’agit d’univers parallèle, de créatures mythiques ou fantastiques… Dans cette série, je pense que je vais être servie ! Je me suis même demandé à plusieurs reprises si j’aurais préféré être Faucheuse ou Gardienne, quel don j’aurais eu… Je me suis projetée dans ce monde.

L’écriture de Marie Pavlenko est très prenante. Elle est sans artifice. J’ai apprécié que le langage employé soit courant. Parfois, lors des dialogues, une négation était supprimée : « Je sais pas » par exemple. A l’écrit, c’est très rare. Cela donne un véritable effet de réalisme.

Je ne m'attendais pas à ce que tu sois aussi génial.

En résumé : presque un coup de cœur. Une chose est sûre, je vais me précipiter à la librairie pour me procurer les tomes 2 et 3 eux aussi parus en poche !

dimanche 8 mars 2015

Philippa Pearce : Tom et le jardin de minuit



Tom et le jardin de minuit.

Les vacances commencent mal pour Tom : il doit les passer chez son oncle et sa tante.
Mais pour quelle raison lui est-il interdit de quitter sa chambre la nuit ? Et pourquoi les fenêtres ont-elles des barreaux ? Une nuit, Tom, très intrigué, descend l'escalier à pas de loup... et voici qu'une porte s'ouvre sur un merveilleux jardin peuplé d'étranges personnages, où le jour, la nuit et les saisons n'obéissent plus aux lois du Temps.

MON AVIS :

Je l’ai lu pour la première fois il y a plus de dix ans. J’étais à l’école primaire, j’ai pris ce livre dans la bibliothèque de la classe et je l’ai dévoré ! C’est un de mes premiers coups de cœur (j’ai du le lire peu de temps après Harry Potter !) et cette histoire m’a énormément marqué. Il y a deux-trois semaines, sans mentir, cette histoire m’est revenue en tête et je me suis dit que j’aimerais beaucoup la relire. Le problème c’est que j’avais quitté l’école primaire et le livre y est resté… Puis, fin février, je suis allée à Londres et dans la librairie Waterstones, bien en évidence, était posé ce roman ! La couverture bleue a attiré mon regard et je ne pouvais que l’acheter. Aussitôt acheté, aussitôt lu… Et le plaisir a été le même que lorsque j’étais plus jeune !

Tom est un garçon d’une dizaine d’années qui doit partir chez son oncle et sa tante pour les vacances d’été car son frère a la rougeole. Tom est en colère, il ne veut pas y aller car les Kitsons habitent en appartement et ils n’ont pas de jardin… En arrivant le petit garçon est intrigué par une pendule qui ne sonne jamais l’heure comme il le faut… et en pleine nuit, il l’entend sonner 13 coups ! Quelle surprise pour lui lorsqu’il passe alors la porte de l’arrière-cour et qu’il découvre…un jardin. Suite à cette découverte, Tom explore le jardin et durant ces pérégrinations, il rencontre la petite Hatty, qui a son âge. Ensemble, chaque nuit ils vont explorer le jardin et les alentours. 

Il est assez difficile d’écrire cette chronique car je ne veux pas en dire trop sur le contenu de l’histoire. Mais croyez-moi quand je vous dis qu’elle est magique, prenante et surprenante. Tom est aventurier et il cherche à comprendre le fonctionnement de ce jardin qui n’apparaît que la nuit, de cette pendule qui sonne 13 coups…

Lucy découvre Narnia. Un peu comme Tom, dans le roman chroniqué ici.

J’ai été transportée dans ce jardin, j’adorais les scènes s’y déroulant. J’avais l’impression de découvrir une sorte de Narnia mais dans notre dimension et non dans un monde parallèle. Je l’imagine coloré, bien arrangé, verdoyant, *insérer tous les adjectifs mélioratifs existants pouvant décrire un jardin*De plus, les personnages, bien qu’ils ne soient pas tous très attachants, sont tous intéressants à suivre. Les plus développés sont Tom et Hatty, le duo central. Ils forment une équipe très soudée et leur amitié est très particulière. Elle défit le Temps et c’est exceptionnel.

La fin du roman est touchante. Avec mon regard d’adulte et mes souvenirs d’enfant, elle ne m’a pas surprise mais je l’aime énormément. La boucle du temps est bouclée avec magnificence. L’enfance de Tom prend une tournure différente et celle de son frère Peter s’apprête à suivre le même chemin. 

Pour résumer cette très courte chronique, je vous encourage à découvrir ce livre pour enfants qui se lit à tout âge ! C’est magique et brillant.

C'est magique !

jeudi 5 mars 2015

Timothée de Fombelle : Le livre de Perle



CRITIQUE REALISEE DANS LE CADRE DES CHRONIQUEURS GALLIMARD
Le Livre de Perle

Tombé dans notre monde une nuit d’orage, un homme emprunte le nom de Joshua Perle et commence une vie d’exilé. Cette nouvelle vie fugitive, déchirée par un chagrin d’amour, est aussi une quête mystérieuse. Au fil du siècle, Perle rassemble un trésor pour défaire le sort qui l’a conduit loin de chez lui. Mais ceux qui l’ont banni et le traquent le laisseront-ils trouver le chemin du retour? Perle a-t-il raison de penser que la fille qu’il aime l’attend toujours là-bas?

MON AVIS :

Un grand merci à Gallimard Jeunesse pour l’envoi de ce roman en novembre 2014. J’ai pris un peu de retard sur mes SP avec cette maison d’éditions, j’essaie de me rattraper !

Il y a quelques années maintenant, Timothée de Fombelle se faisait connaître avec son roman « Tobie Lolness ». Ce roman était partout en librairie mais je ne m’étais pas laissé tenter. C’est pourquoi je découvre seulement l’auteur avec ce SP alors que beaucoup le connaissent déjà. Mais comme on dit, mieux vaut tard que jamais. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre avec ce roman. Je l’ai commencé sans vraiment d’attente, je voulais juste pouvoir m’évader, comme à chaque fois que j’ouvre un livre. Parfois ça fonctionne, parfois ça rate. Ici, ça a fonctionné !

Le Livre de Perle est déjà un titre que je trouve très beau. Il est poétique et précieux. Ça peut vous paraître étrange mais le mot « perle » est un mot que j’aime bien. Il a une certaine sonorité et connotation que mon cerveau aime bien ! (Oui je suis étrange, sorry not sorry !). Avec ce titre, je m’attendais à lire un petit bijou et j’ai tapé dans le mille.

L’histoire est celle de Joshua Perle mais aussi de nombreux autres personnages. Tous sont liés les uns aux autres mais ces liens ne sont pas clairs au premier instant. En effet, petit à petit, leur histoire nous est dévoilée grâce à des chapitres mêlant différents points de vue. Ainsi, on ne sait jamais trop ce que le prochain  chapitre nous réserve. Cela laisse le lecteur avide de lire la suite car il a besoin de comprendre, de lier les éléments entre eux. 

Les personnages sont tous très touchants. Ils sont plein de secrets et ils ont des identités qui ne sont pas toujours très définies. J’ai adoré les découvrir petit à petit. Timothée de Fombelle réussit à semer des indices et j’aime la façon qu’il a de ne pas tout nous dévoiler d’un coup. Ce que l’on doit savoir, il nous le donne et à la fin, tout se lie avec une simplicité époustouflante. Au début de la lecture, il est vrai que ce n’est pas évident de suivre. Puis on s’habitue à ce découpage particulier du récit et on est emporté !

J’ai beaucoup aimé ce roman. Ce roman dégage une atmosphère particulière et ça le rend précieux. C’est féérique et réaliste à la fois, poétique et mystérieux, doux et violent. Il y a de la magie, de la passion et du rêve aussi. C’est assez indescriptible. De plus, Timothée de Fombelle décrit le monde dans lequel évoluent les protagonistes d’une telle façon que nous sommes projetés à leurs côtés. On s’imagine extrêmement bien les forêts de Ilian et Olia, la Maison Perle avec les guimauves dans les rues de Paris, Venise et ses canaux…

Malgré un début difficile, j’ai très vite été rattrapée par cet univers onirique. Pour une première rencontre avec l’auteur, c’est un vrai délice. Il a une plume particulière qui vous emmène avec une facilité déconcertante. Un grand bravo à l’auteur et j’espère avoir vite l’occasion de découvrir ses autres romans !

"La poésie. La beauté. L'amour. C'est pour tout cela que l'on reste en vie."