The fault in our stars
Hazel, 16 ans, est atteinte d'un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l'évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C'est là qu'elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d'Hazel, qui a peur de s'impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d'amour commence... les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.
MON AVIS :
Depuis
que j'ai connu John Green sur sa chaîne YouTube (avec son frère Hank)
et depuis que je l'ai vu à Chicago, je me suis dit qu'il fallait
absolument que je lise un de ses romans. J'ai d'abord eu dans ma PAL «
Le théorème des Katherine » puis « The Fault in Our Stars » est venu
rejoindre les rangs. Et j'ai décidé de commencer par ce dernier parce
que 1. Je voulais lire un livre en anglais, ça me manquait. 2. C'était
son dernier roman. 3. J'ai décidé de le lire en lecture commune (lecture
mouvementée) avec Kevin. Me voilà donc partie dans cette aventure qui
s'annonçait difficile.
Pourquoi difficile ? Tout simplement à cause du thème de ce livre. En effet, comme dit sur la quatrième de couverture, il s'agit de l'histoire de deux adolescents, tous les deux malades d'un cancer. J'ai la chance de ne pas être trop touchée personnellement par le cancer, ma famille étant pour le moment épargnée. Pour autant, je reste assez sensible face à cette question.
Je n'entendais que des éloges sur ce roman de John Green et je m'attendais donc à être conquise. J'ai lu le roman très rapidement, j'ai passé un très bon moment en compagnie des personnages mais je n'en ferai pas un coup de cœur. (Pour ma défense, je n'en ai que très rarement).
Les personnages principaux, Hazel et Augustus sont très sympathiques. Ils ont tous les deux un grand sens de la répartie et j'aime beaucoup les personnages avec ce type de caractère. Ils forment un très beau couple et un excellent trio avec leur ami Isaac qui lui aussi n'a pas été gâté par la vie. Comme beaucoup d'autres, j'ai eu un petit coup de cœur pour le personnage d'Augustus. Pour moi, c'est lui qui mène le roman et pas Hazel qui m'a laissé un peu plus de marbre. Augustus est drôle, volontaire, montre de l'entrain... Hazel a beaucoup de courage, du caractère, de la volonté et se pose beaucoup de questions, ce qui est parfaitement légitime. Mais je l'ai trouvée beaucoup plus agaçante. Peut-être est ce dû au fait que ce soit la narratrice.
Les interactions entre tous les personnages sont très présentes ce qui donne un certain dynamisme. Les dialogues donnent vie au roman et ils ne sont pas futiles. Il n'y a jamais une parole plus haute que l'autre. Tout ce qui est dit trouve sa part de vérité. Je ne sais pas exactement comment vous expliquer mais j'ai trouvé que ça rendait une certaine harmonie. John Green ne fait pas dans la pathétique mais dans le réalisme. Il parle de la maladie de façon correcte et directe sans prendre de gants mais sans pour autant être cru, maladroit et méchant.
J'ai surtout eu le cœur serré pendant les derniers chapitres. Je n'en dirai pas plus sur la fin mais elle m'a arrachée quelques larmes. Avec cette histoire, John Green essaie (et réussit) de nous donner envie de vivre.
Et Merci à Kevin pour cette lecture commune presque sans surprise (notamment la fin que nos talents de détectives nous ont permis de deviner...) et un peu en décalée ;)
Pourquoi difficile ? Tout simplement à cause du thème de ce livre. En effet, comme dit sur la quatrième de couverture, il s'agit de l'histoire de deux adolescents, tous les deux malades d'un cancer. J'ai la chance de ne pas être trop touchée personnellement par le cancer, ma famille étant pour le moment épargnée. Pour autant, je reste assez sensible face à cette question.
Je n'entendais que des éloges sur ce roman de John Green et je m'attendais donc à être conquise. J'ai lu le roman très rapidement, j'ai passé un très bon moment en compagnie des personnages mais je n'en ferai pas un coup de cœur. (Pour ma défense, je n'en ai que très rarement).
Les personnages principaux, Hazel et Augustus sont très sympathiques. Ils ont tous les deux un grand sens de la répartie et j'aime beaucoup les personnages avec ce type de caractère. Ils forment un très beau couple et un excellent trio avec leur ami Isaac qui lui aussi n'a pas été gâté par la vie. Comme beaucoup d'autres, j'ai eu un petit coup de cœur pour le personnage d'Augustus. Pour moi, c'est lui qui mène le roman et pas Hazel qui m'a laissé un peu plus de marbre. Augustus est drôle, volontaire, montre de l'entrain... Hazel a beaucoup de courage, du caractère, de la volonté et se pose beaucoup de questions, ce qui est parfaitement légitime. Mais je l'ai trouvée beaucoup plus agaçante. Peut-être est ce dû au fait que ce soit la narratrice.
Les interactions entre tous les personnages sont très présentes ce qui donne un certain dynamisme. Les dialogues donnent vie au roman et ils ne sont pas futiles. Il n'y a jamais une parole plus haute que l'autre. Tout ce qui est dit trouve sa part de vérité. Je ne sais pas exactement comment vous expliquer mais j'ai trouvé que ça rendait une certaine harmonie. John Green ne fait pas dans la pathétique mais dans le réalisme. Il parle de la maladie de façon correcte et directe sans prendre de gants mais sans pour autant être cru, maladroit et méchant.
J'ai surtout eu le cœur serré pendant les derniers chapitres. Je n'en dirai pas plus sur la fin mais elle m'a arrachée quelques larmes. Avec cette histoire, John Green essaie (et réussit) de nous donner envie de vivre.
Et Merci à Kevin pour cette lecture commune presque sans surprise (notamment la fin que nos talents de détectives nous ont permis de deviner...) et un peu en décalée ;)
Sur
les vidéos qui suivent, vous pouvez entendre (et voir) John Green
faisant la lecture du premier et deuxième chapitres de "The Fault in Our
Star" !
Lu et chroniqué en janvier 2013
Oui mouvementé comme LC :P
RépondreSupprimerMais un plaisir de lire avec toi, même si j'ai bien moins aimé que toi ^^
Bisouus
J'ai hâte qu'il sorte en français pour le lire ^^ Mais bon il est déjà dans ma wish-list ^^
RépondreSupprimerOh tu as eu la chance de le rencontrer à Chicago :) Comme toi, j'ai pleuré pendant cette lecture, ce qui m'était jusqu'à maintenant jamais arrivé.
RépondreSupprimerC'est vraiment une belle histoire.
C'est un livre que j'ai très envie de découvrir, j'achète rarement les nouveautés jeunesses (ou alors 1 ans après mais ce ne sont donc plus des nouveautés ptdr) mais celui là, je pense que dès que j'aurai des sous-sous je sauterais dessus (avec Wonder aussi ^^). Vu ton avis je pense qu'il me plaira (même si j'ai pas envie de pleurer mais bon XD)
RépondreSupprimerJ'ai vraiment envie de lire ce livre d'après toutes les bonnes chroniques qu'il y a dessus (sauf Crouton qui sort du lot xD mais on lui pardonne parce qu'on l'aime :p).
RépondreSupprimerTa chronique me conforte dans l'idée qu'il est temps que ce bouquin sorte ^^
Il me le faut!!
RépondreSupprimerJe ne connaissais pas ce livre et il a l'air tout simplement magnifique, je le note sans hésitation!
RépondreSupprimerJ'ai adoré ce roman même si c'est vrai que le thème est triste. Je suis en train de lire Will Grayson du même auteur, pour le moment j'aime beaucoup aussi :)
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