Demain j'arrête !
Comme tout le monde, Julie a fait beaucoup de trucs stupides.
Elle pourrait raconter la fois où elle a enfilé un pull en dévalant des escaliers, celle où elle a tenté de réparer une prise électrique en tenant les fils entre ses dents, ou encore son obsession pour le nouveau voisin qu'elle n'a pourtant jamais vu, obsession qui lui a valu de se coincer la main dans sa boîte aux lettres en espionnant un mystérieux courrier... Mais tout cela n'est rien, absolument rien, à côté des choses insensées qu'elle va tenter pour approcher cet homme dont elle veut désormais percer le secret.
Poussée par une inventivité débridée, à la fois intriguée et attirée par cet inconnu à côté duquel elle vit mais dont elle ignore tout, Julie va prendre des risques toujours plus délirants, jusqu'à pouvoir enfin trouver la réponse à cette question qui révèle tellement : pour qui avons- nous fait le truc le plus idiot de notre vie ?
MON AVIS :
Ce
roman m'avait attirée avec sa couverture toute mignonne. Un chat coiffé
d'un bonnet péruvien, avouez qu'on n'en croise pas tous les jours !
Reçu en cadeau pour mes 20 ans, j'ai attendu l'été pour me lancer dans
cette lecture détente qui s'annonçait sans prise de tête.
Autant vous l'annoncer de suite, j'ai lu ce roman en une journée. En parcourant les blogs tout au long de l'année et en discutant avec certains d'entre vous, j'ai vu que beaucoup avaient adoré cette lecture, certains en ont fait un coup de cœur. Pour ma part, j'ai passé un bon moment mais je doute garder un souvenir impérissable de ce roman.
Tout d'abord, l'histoire ne casse pas des briques. La trame principale n'est pas exceptionnelle, vous ne me direz pas le contraire : Julie veut faire connaissance de son nouveau voisin, il est beau et parfait et ils n'ont plus qu'à tomber dans les bras l'un de l'autre. Néanmoins, j'ai apprécié suivre leurs péripéties et leurs différents rendez-vous. Parfois c'était mignon, parfois complètement décalé.
Le côté décalé apparaît d'entrée de jeu avec le nom du voisin : Ricardo Patatras. Si ça, ce n'est pas un nom décalé... Je dirai même ridicule. Et de ce fait, je n'ai pas trouvé ça crédible. Je sais bien qu'il existe des noms de famille dans ce genre mais avec ce nom, l'auteur en a rajouté une couche et c'était celle de trop. Mais si on oublie son nom de famille, le personnage est sympathique. Julie, personnage principale, l'est tout autant. En fait, tous les personnages sont sympathiques et attachants. Ils ne sont pas exceptionnels mais ils représentent la vie quotidienne. Ils sont l'excuse parfaite pour Gilles Legardinier : grâce à eux, il distille des petits messages sur la vie, sur l'amour, l'amitié et la famille.
Le style de l'auteur est léger, frais, rafraîchissant. Il donne un caractère un peu fou à son personnage principal : Julie et cela laisse place à des répliques détonantes. Il y a des situations cocasses qui vous arrachent facilement un sourire mais difficilement un éclat de rire.
La dernière partie du livre m'a cependant déçue. Niveau farfelu, c'est le summum, la cerise sur le gâteau. Autant le farfelu ne me gênait pas dans les trois premiers quarts. Tout concordait bien, c'était réaliste, ça mettait de bonne humeur. Mais la dernière grosse action et le dénouement sont beaucoup trop gros pour être vrais. Je n'ai pas aimé la tournure que prenaient les choses.
Globalement, j'ai vraiment apprécié même si mon avis final est mitigé. C'est mignon, c'est sympathique et ça détend. Je ne recherchais rien de plus dans cette lecture.
Autant vous l'annoncer de suite, j'ai lu ce roman en une journée. En parcourant les blogs tout au long de l'année et en discutant avec certains d'entre vous, j'ai vu que beaucoup avaient adoré cette lecture, certains en ont fait un coup de cœur. Pour ma part, j'ai passé un bon moment mais je doute garder un souvenir impérissable de ce roman.
Tout d'abord, l'histoire ne casse pas des briques. La trame principale n'est pas exceptionnelle, vous ne me direz pas le contraire : Julie veut faire connaissance de son nouveau voisin, il est beau et parfait et ils n'ont plus qu'à tomber dans les bras l'un de l'autre. Néanmoins, j'ai apprécié suivre leurs péripéties et leurs différents rendez-vous. Parfois c'était mignon, parfois complètement décalé.
Le côté décalé apparaît d'entrée de jeu avec le nom du voisin : Ricardo Patatras. Si ça, ce n'est pas un nom décalé... Je dirai même ridicule. Et de ce fait, je n'ai pas trouvé ça crédible. Je sais bien qu'il existe des noms de famille dans ce genre mais avec ce nom, l'auteur en a rajouté une couche et c'était celle de trop. Mais si on oublie son nom de famille, le personnage est sympathique. Julie, personnage principale, l'est tout autant. En fait, tous les personnages sont sympathiques et attachants. Ils ne sont pas exceptionnels mais ils représentent la vie quotidienne. Ils sont l'excuse parfaite pour Gilles Legardinier : grâce à eux, il distille des petits messages sur la vie, sur l'amour, l'amitié et la famille.
Le style de l'auteur est léger, frais, rafraîchissant. Il donne un caractère un peu fou à son personnage principal : Julie et cela laisse place à des répliques détonantes. Il y a des situations cocasses qui vous arrachent facilement un sourire mais difficilement un éclat de rire.
La dernière partie du livre m'a cependant déçue. Niveau farfelu, c'est le summum, la cerise sur le gâteau. Autant le farfelu ne me gênait pas dans les trois premiers quarts. Tout concordait bien, c'était réaliste, ça mettait de bonne humeur. Mais la dernière grosse action et le dénouement sont beaucoup trop gros pour être vrais. Je n'ai pas aimé la tournure que prenaient les choses.
Globalement, j'ai vraiment apprécié même si mon avis final est mitigé. C'est mignon, c'est sympathique et ça détend. Je ne recherchais rien de plus dans cette lecture.
Lu et chroniqué en juillet 2013